Le logis ou le logement est l’extension de notre corps.
Ne dit-on pas : « Je rentre chez moi. » ?
D’un point de vue individuel, avoir un « chez soi » c’est ĂȘtre en mesure de porter un regard sur soi. Il est essentiel Ă la construction de notre identitĂ©.
D’un point de vue du couple, partager un logis c’est ĂȘtre en capacitĂ© de s’ouvrir Ă l’autre.
C’est en partageant le quotidien qu’on peut observer les dysfonctionnements inter-relationnels dans lesquels s’inscrivent les personnalitĂ©s.
S’installer dans un logis, son logis, offre une stabilitĂ© dans le temps, non pas que matĂ©rielle mais Ă©galement psychique.
Il est dit que pour s’aimer en couple, il faut ĂȘtre indĂ©pendant. Mais alors, oĂč est-ce qu’on se rejoint ? Dans le logis !
Celui que l’on partage, celui qui matĂ©rialise notre ouverture Ă l’autre, notre abandon confiant et sĂ©cure Ă l’autre. On peut s’autoriser Ă y ĂȘtre dĂ©pendant de l’autre sans craindre la perdition de notre identitĂ©, individualitĂ© ou de devenir l’Ă©cho de l’autre.
En dĂ©finitive, tant que les besoins de chacun sont entendus et respectĂ©s, qu’il y a un juste Ă©quilibre entre fusion et indĂ©pendance, la vie de couple dans son logis sera pĂ©renne et stable.
Il y a aujourd’hui ce penchant Ă innover de nouvelles tendances comme la vie de couple dans des logements sĂ©parĂ©s. Or, il est dit que ceux qui expĂ©rimentent cette « mĂ©thode » sont majoritairement des personnes qui ont beaucoup souffert de leurs relations passĂ©es et que dans cette majoritĂ©, qui ne reprĂ©sente que 2,7% des couples en France, trĂšs peu passent la barre des 3 ans.
Ce qui laisse entendre que la vie d’un couple partageant le mĂȘme logis, mĂȘme si ça demande un « investissement » personnel, semble plus durable et ne pourrait-on pas dire mĂȘme, naturel ?
#maison #foyer #logis #couple #famille #sécurité #engagement #partage #avenir
Ne dit-on pas : « Je rentre chez moi. » ?
D’un point de vue individuel, avoir un « chez soi » c’est ĂȘtre en mesure de porter un regard sur soi. Il est essentiel Ă la construction de notre identitĂ©.
D’un point de vue du couple, partager un logis c’est ĂȘtre en capacitĂ© de s’ouvrir Ă l’autre.
C’est en partageant le quotidien qu’on peut observer les dysfonctionnements inter-relationnels dans lesquels s’inscrivent les personnalitĂ©s.
S’installer dans un logis, son logis, offre une stabilitĂ© dans le temps, non pas que matĂ©rielle mais Ă©galement psychique.
Il est dit que pour s’aimer en couple, il faut ĂȘtre indĂ©pendant. Mais alors, oĂč est-ce qu’on se rejoint ? Dans le logis !
Celui que l’on partage, celui qui matĂ©rialise notre ouverture Ă l’autre, notre abandon confiant et sĂ©cure Ă l’autre. On peut s’autoriser Ă y ĂȘtre dĂ©pendant de l’autre sans craindre la perdition de notre identitĂ©, individualitĂ© ou de devenir l’Ă©cho de l’autre.
En dĂ©finitive, tant que les besoins de chacun sont entendus et respectĂ©s, qu’il y a un juste Ă©quilibre entre fusion et indĂ©pendance, la vie de couple dans son logis sera pĂ©renne et stable.
Il y a aujourd’hui ce penchant Ă innover de nouvelles tendances comme la vie de couple dans des logements sĂ©parĂ©s. Or, il est dit que ceux qui expĂ©rimentent cette « mĂ©thode » sont majoritairement des personnes qui ont beaucoup souffert de leurs relations passĂ©es et que dans cette majoritĂ©, qui ne reprĂ©sente que 2,7% des couples en France, trĂšs peu passent la barre des 3 ans.
Ce qui laisse entendre que la vie d’un couple partageant le mĂȘme logis, mĂȘme si ça demande un « investissement » personnel, semble plus durable et ne pourrait-on pas dire mĂȘme, naturel ?
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